Exposition
Dans 2 jours de 12:00 à 20:00Dans 3 jours de 12:00 à 20:00Le jeudi 31 juillet 2025 de 12:00 à 20:00Le vendredi 01 août 2025 de 12:00 à 20:00Le samedi 02 août 2025 de 12:00 à 20:00Le mardi 05 août 2025 de 12:00 à 20:00Le mercredi 06 août 2025 de 12:00 à 20:00Le jeudi 07 août 2025 de 12:00 à 20:00Le vendredi 08 août 2025 de 12:00 à 20:00Le samedi 09 août 2025 de 12:00 à 20:00...Plus 1 autre date
ParisTarif : gratuit
Lieu : Galerie John Ferrère 18 Rue Dauphine 75006 Paris
Contact : https://galeriejohnferrere.com/the-subversive
La Galerie John Ferrère annonce l'exposition collective The Subversive Stitch, sous le commissariat d'Emma O'Quigley, du 3 juillet au 15 août 2025.
Inspirée par l'étymologie du mot texte, issu du latin textus (tissu, trame) et du verbe texere (tisser), l'exposition The Subversive Stitch interroge la manière dont les gestes de tissage, de couture ou de superposition deviennent un langage plastique. Tisser, écrire, construire : autant d'actes matériels et symboliques qui relient le corps, l'espace et la mémoire.
Le titre de l'exposition, emprunté à l'essai de Rozsika Parker, fait écho à une réflexion sur le textile comme espace de résistance, de réappropriation et de narration, souvent invisibilisé ou relégué aux sphères dites mineures de l'art ou du domestique.À travers des pratiques sculpturales, picturales et installatives, les trois artistes réunies dans l'exposition explorent les zones de friction entre la rigidité et la souplesse, l'intérieur et l'extérieur, le visible et l'invisible.
Elles proposent des œuvres comme autant de tissus où s'entrelacent matériaux industriels, gestes et récits fragmentés.The Subversive Stitch tisse un dialogue sensible entre les pratiques de Charlotte Simonnet, Lana Von Thorn et Talia Maidenberg, qui toutes interrogent la surface, la structure et la mémoire comme des espaces d'inscription, de tension et de métamorphose.
Charlotte Simonnet développe une logique d'oxymore sculptural en hybridant formes architecturales, industrielles et naturelles dans des installations qui prolifèrent telles des organismes vivants.
Le métal, travaillé en tension ou en torsion, dialogue avec la fluidité de formes tissées, remettant en jeu la notion même de fondation, à la fois physique, et symbolique.
Ces pièces évoquent des dynamiques de croissance, de contamination, de propagation, des formes de tissage actives qui remettent en cause la stabilité des structures visibles.Lana Von Thorn travaille une...